mardi 28 août 2007

Mes essais asiatiques. Part I.




L'incipit du jour tiendra en la présentation de mon principal essai asiatique: j'ai l'honneur de vous présenter Sushi.. mon bonzaï Carmona âgé de 14 ans, - l'"âge ingras" me direz-vous - mais je ne serais pas de celles qui vous feront le discours SOS Maman d'adolescent. Lui ne fait pas de crise identitaro-existentielle (qui peut parfois durer jusqu'à la 20taine bien dépassée..), non, il se contente d'apporter un peu d'harmonie dans mon petit 19 M2..
Je suis à deux doigts de vous faire un plaidoyer pour épouser un Bonzaï, mais bon... comme disent certains profs de droit "pour traiter ce sujet nous renvoyons à d'autres cours magistraux".

Un deuxième essai asiatique?
Un petit restau Japonais - traditionnel "OZU".
J'ai joué le grand jeu "menu gastronomique"... et je peux vous dire que je me suis bien régalée pendant 3 heures durant...
des mises en bouche exceptionnelles (particulièrement la fleur de lotus dans une marinade de sauce soja et de saké.... les délicieux sashimis au Bar, les Tempuras Gambas-Crevettes, L'anguille caramélisée... des sushis et des makis à se damner...
La grande découverte? Le Crabe Mou au Vinaigre Noir... il y a de ces plats que l'on commande non sans petit pincement au coeur (ouh-la-la je ne ma la joue pas "valeur sûre" là..) eh bien c'est rarement mon cas.
Mais quand j'ai dit au serveur "un crabe mou" en entrée, non sans un sourire niais et béat, il m'a regardée comme si j'avais dit "CORDE" dans un théâtre!
Il m'a alors expliqué que le crabe mou était un crabe tout entier, qui se mangeait tout nu et tout bronzé, sans décortiquer, rien du tout... que c'était une spécialité...
Mon instinct d'Indiana-Jones de la Gastronomie ne pouvait s'arrêter devant ces petites broutilles tout de même.. vous pensez bien!
Alors j'ai simplement dit "oui" non sans l'air d'une gamine qui peut goûter son premier Calvados (oui j'ai du sang normand oui! d'ailleurs paraît-il que lors des habituelles fêtes normandes, on mettait un petit fond de calvados dans le biberon des bébés, pour ne pas qu'ils dérangent leur famille déjà bien émechée... et devant passer à table, après 3 pastis minimum par tête..).

Eh bien quelle surprise pour la culinaro-téméraire que je suis, de voir dans son assiette (splendide d'ailleurs) un crabe, tout entier, coupé en deux morceaux, à manger tout entier.
Après une seconde de "wouh mon Dieu", je m'attaque à la bête, et..... simplement divin

Sur la photo, le dessert chez OZU.. rien de très japonais, oh non.... mais un véritable délice de Mille feuilles à la Fraise des Bois et crème à ??! pour sûr le titre était des plus invitants... mais mon euphorie 'crabesque' m'en a fait oublier le reste! Je crois bien qu'il s'agissait du nom d'un vin blanc très doux.... je devrais demander à Claude-Olivier "^^".. avant de dire une énième ânerie!

Bon et puis, bien moins pittoresque, viendront mes essais asiatiques à moi...
Le Filet de Saumon tellement parfumé qu'on se demande si c'est du Chanel,
suivis des Nems et Raviolis Asiatico-Ritaux (dans mes idées-humour-décadent j'ai pensé à les appeler Les raviolis d'Asia Argento mais en même temps ils ne sont pas assez trash..).
Je les posterais samedi pour comodité de lecture, car je commence à me faire longue et romanesque (quantitativement, pas es qualités, s'entend!).

mercredi 22 août 2007

United Colors of Gazpachos




Je crois bien avoir perdu mon grand défi devant l'Eternel...
Je n'ai pas posté ces gazpachos hier soir...
Quoique quoique... j'ai bien encore une petite carte "argument de choc" à jouer! Je n'avais posté le Cousin du Moelleux qu'à Minuit passée... ce qui me légitime à poster ces Gazpachos pendant un délai d'environ 4 Heures.
Convaincus??!

Oh et puis un défi devant l'Eternel n'a rien de palpitant, il faut bien l'avouer, c'est perdu d'avance. Il a bien trop de notoriété.. ;)

Alors voici les cousins Gazpachos, le rouge Classique, le vert Pas banal (j'ai quand même hésité à l'appeler "Vert Grenelle" mais on va faire du politiquement correct, pour le moment ;) ), et à mon grand dam sans photo à la clef, leur petit cousin germain, le violet Fashion.

-Le Rouge classique-
Pour 6 environ (recette de Dominique Malet)
1 poivron rouge
3 c. s. d'huile d'olive extra vierge
1/2 concombre
1 boîte de tomates pelées
1 gousse d'ail
12 feuilles de basilic
Sel poivre..

Couper le poivron en lamelles...
Faire revenir le poivron dans l'huile d'olive pendant une dizaine de minutes..
Eplucher et couper en petits carrés le concombre.
Mettre tous les ingrédients (les tomates, les poivrons, les concombre, la gousse d'ail épluchée, les feuilles de basilic) dans un grand bol, mixer au mixeur plongeant... rien de plus simple, de plus facile et de plus parfumé!!
Réserver au frais deux bonnes petites heures.

- Le Vert Pas Banal-
100 grammes de céleri-rave (toujours Dominique Malet, mais ma recette est un peu modifiée).
1 concombre
1/2 botte de persil
1 branche d'estragon
6 feuilles de basilic
2 c. s. d'Huile d'olive
Sel poivre

Pour ma part j'ai fait sauter le céleri à la poêle, pour que son goût soit un peu plus prononcé. Dominique Malet préfère le faire cuire dans l'eau bouillante salée pendant 20 minutes. (Je n'étais pas déçue du mien, si ce n'est son petit manque de liquidité, mais dans l'ensemble, je me considère conquise par la variante! Je rajouterai juste un peu d'eau la prochaine fois..). Ensuite même chose que pour le rouge classique: éplucher et couper en petits cubes le concombre.
Mixer dans un grand bol à l'aide du Super-Mixer-Plongeant-Magique le concombre, le céleri, les herbes et l'huile d'olive. Et rajouter un peu d'eau si le mélange est trop épais.
Réserver au frais, deux heures aussi..

- Le Violet Fashion -
Je crois que j'avais trouvé la recette dans "Elle à table"... mais n'en suis plus certaine...
Pour 6 personnes:
2 betteraves rouges déjà cuites
1 concombre
1 yaourt à la grecque
Du vinaigre à la framboise
un peu de coriandre
sel poivre

Eplucher et couper en petits cubes le concombre et les betteraves, mixer dans un grand bol avec votre nouvel ami Super-Mixer-Plongeant et ajouter un filet de vinaigre le sel et le poivre.

Réserver deux petites heures.

Si j'avais eu le temps, j'aurais bien servi le tout avec des ptites chips de carotte et de betterave...

Mais pour l'instant, le temps me manque un peu, entre le stage et la rédaction d'un ptit mémoire en italien (tiens, si quelqu'un est inspiré, outre que par ces Gazpachos, par les mesures d'embargo commercial au Kosovo, qu'il me jette la première pierre, ou tout simplement qu'il me donne un ptit coup de main ;) )

A très vite.. (formule prudence, anti-mensonge) et peut être avec mes essais asiatiques... oui, j'ai fait joujou tout le week end avec mon wok et mes brand-new paniers vapeur!

lundi 20 août 2007

Le cousin du Moelleux au chocolat et au Thé Vert, sauce orange, ou De la sagesse de s'attarder bien plus à la beauté intérieure....

Je m'aperçois que je devrais faire de la politique. (Si ce n'est déjà fait..).
Je suis en effet incapable de tenir mes promesses... facile à vérifier : regardez la conclusion de mon dernier post "je posterai la recette du dessert demain"... et 4 jours sont passés, ni vu ni connu, sans que je ne m'attèle à cette tâche.

Je vais me venger de cette inexécution (mon Dieu ms quand le vocabulaire juridique me quittera-t-il?) en publiant dès demain (sisisisi cette fois-ci je le prends comme un défi devant l'éternel!) mon duo de gazpachos...

Ne serait-ce qu'il est bien là, le Cousin du Moelleux au Chocolat et au Thé Vert sauce Orange.. avec ses lettres de noblesses, malgré sa laideur (petit problème pour maîtriser ce tout premier soufflé..), avec ses parfums exquis et son goût inimitable qui vous fait simplement penser, en dehors de toute considération raisonnable, "mais que diable n'en ai je pas fait 8"?

C'est une autre recette de Carlo Crisci que je n'ai encore que réussi à moitié.
Voire au quart.
Mais le goût y était. Celui que l'on s'imagine en lisant le titre.

Alors la recette pour 6 personnes (je l'ai divisée par 3 pour nous):
Les ingrédients (Carlo Crisci est absolument malin: il divise tous les ingrédients par phase de façonnage..)

La truffe au thé vert...
0,6 dl d'eau
1 cuillère à soupe de Thé Vert
200 grammes de Crème fraîche
120 grammes de Chocolat noir
50 grammes de beurre

La couverture au chocolat fondu (qui oserait dire qu'il n'a pas l'eau à la bouche???)
+ 110 grammes de couverture de chocolat noir
et un peu de beurre

L'appareil à soufflé:
40 grammes de farine de riz
40 grammes de poudre d'amande
2 Jaunes d'oeufs

2 blancs d'oeufs
1 pincée de sel
190 Grammes de sucre.

La sauce à l'orange...
2 oranges
Un filet de jus de citron (j'ai pris du citron vert pour le contraste)
2 cl de Grand Marnier (j'ai pris du Ricard, parce que c'est l'été... non je plaisante, humour décadent, quand tu nous tiens...)
50 grammes de beurre (j'ai pris du beurre salé, parce que je suis une inconditionnelle...)

Quant à la main à la pâte:

Rincer le thé vert dans les 0.6 dL d'eau, mettre à infuser dans la crème chaude, filtrer puis verser sur le chocolat haché (ça doit sentir merveilleusement bon, sinon vous êtes inévitablement en manque d'inspiration ou enrhumés, ce qui ne relève pas de l'anachronisme (vous trouverez à ce propos une très belle plaidoirie sur votre droite, dans mes liens, à "Mahhrie").
Mixer le tout avec le beurre et mixer en forme.

Fondre la couverture et le beurre...
La magie s'opère.
Qu'y a-t-il de mieux que du chocolat qui fond avec du beurre?! L'apothéose de la gourmandise, selon Claire P.

Mélanger la farine de riz, la poudre d'amande et les jaunes d'oeuf, incorporer à la couverture fondue.

Mourir un instant pour revivre follement.

Monter les blancs avec une pincée de sel, lorsque les blancs sont montés aux 3/4 ajouter le sucre petit à petit, incorporer délicatement les blancs dans la masse précédente petit à petit....

On passe à la sauce...
Dans une sauteuse faire un caramel (monstrueux) avec le sucre, ajouter quelques zestes d'orange, flamber avec le grand marnier, déglacer avec le jus des oranges et du citron, laisser réduire et monter au beurre. Réserver.

Verser dans des moules à soufflé 1 cm de masse à soufflé, insérer une truffe (bien liquide pour ma part, à rectifier donc, pour de jolies photos!!) et recouvrir de masse jusqu'à hauteur des moules, et cuire environ 12 minutes à 220°...

Carlo Crisci les sert avec une boule de glace impératoire et un demi macaron.
La flegme pour ma part les a très bien servies :)

Je vous laisse avec l'eau à la bouche (pour ma part) et vous la transmets peut être, en attendant mon duo de gazpachos, qui se voudra bientôt trio, puisque j'ai découvert celui à la betterave...
C'est l'ivresse en tête que je vous dis à très bientôt pour de nouvelles aventures culinaires!!


jeudi 16 août 2007

Thon Rouge en écailles d'Aubergines, ou quand Carlo Crisci tente de s'inviter dans ma cuisine et n'y parvient qu'à moitié...


Je n'ai rien publié depuis 10 jours, à mon grand dam.
Mais travailler l'été et ériger en principe la volonté de ne jamais louper un petit verre (quotidien) entre amis m'ont contrainte à ne pas publier de recettes. Mais surtout, oh surtout, je n'ai que très peu cuisiné.
Je vous avais annoncé le fameux dîner en l'honneur de Victoire, goûteuse en titre, attitrée, fine critique gastronome (qui ne vous dira jamais l'horrible phrase, la pire que s'entend dire tout marmiton en herbe: "ce n'est pas mauvais") et très bonne amie.
Je me suis dit "aux grands maux les grands remèdes", ou, pour ne pas faire trop pompeux: "allez faisons un dîner de foufou pour Vic" et je me suis donc littéralement plongée dans le merveilleux livre de Carlo Crisci (chef cuistot Suisse d'origine italienne) pour y trouver un plat et un dessert.
Un duo de gazpachos (1 rouge classique et un vert au céleri et fines herbes fraîches) que je n'ai pas jugé bon vous décrire de par sa trop grande simplicité, nous a délicatement amenées vers ce qui aurait voulu être un "Filet de Rouget en écailles d'aubergines, et son huile de basilic".

Oui mais il y a un "mais". Voire plusieurs.
Tout d'abord, le "mais" Parisien: tout Paris est totalement mort au mois d'août. Et me voici, Samedi à 15H, à la recherche de la poissonnerie perdue. Soit fermée pour congés soit fermée pour cause de "samedi". Tout au moins ça varie.
Je me devrais sans aucun échappatoire possible de répéter cette recette et y rester fidèle un jour prochain, et poster un billet approprié. J'ai opté, à mon grand dam, pour deux belles pièces de Thon rouge.

Mon second "mais" (avant de passer au "met" sait-on jamais qu'un lecteur se soit épris de mon humour décadent!) est bien évidemment la taille de ma cuisine, 2 m2 je pense..et mon four "mini", ce qui m'incite à appeler cette recette "un Plagiat de Crisci, selon le système D".

Quant à la recette la voici!
Pour 2 personnes acceptant cette formule système D:
* 2 filets de rouget (normalement) moi deux steaks de thon rouge.
* 1 /2 aubergine
* une dizaine de feuilles de basilic
* 1 dl de fond de poisson (j'ai mis plutot du fond de tiroir, allez comprendre du bouillon spécial poisson... système D je vous dis, système D).
* un citron vert
* huile d'olive (blablabla extra vierge blablabla)
*fleur de sel poivre noir piment oiseau.

Tout d'abord, retirer les arrêtes des filets de rouget (pour moi pas la peine...)
tailler l'aubergine en "écailles", tâchez d'être artistiques, et non pas débrouillards à l'instar de moi même. Mais j'avoue l'opération loin d'être aisée!!!
assaisonner les filets de basilic coupé (2 feuilles), sel et poivre, disposer les écailles d'aubergines sur les filets (ce qui doit être sacrément plus artistique sur un filet de rouget et non sur un steak carré de thon...) et réserver ce poisson d'Août (pas pu résister).

Pour la sauce: ciseler le reste de basilic, ajouter le fond de poisson, le jus du citron vert, sel poivre, piment oiseau, et émulsionner le tout à l'huile d'olive. La mienne n'était pas assez épaisse, à revoir donc.

Et dernière étape, rôtir les filets de rouget au four, côté écailles, au beurre (j'ai opté pour l'huile d'olive au pinceau pour mes filets de thon).

Ma touche personnelle c'est le petit riz violet aux aubergines qui accompagnait le tout. Le riz violet "commerce équitable" est le protagoniste de ce petit accompagnement, qui a merveilleusement bien accompagné le tout.
Ce n'était pas un risotto (les oignons et le vin auraient donné un goût trop prononcé) mais un riz cuit à la façon pilaf.



Je publierai demain le petite dessert, dont je vous laisse l'intitué, pour - sait-on jamais- vous laisser aussi l'eau à la bouche:
"Moelleux au chocolat au thé vert, sauce orange".

Je m'en vais de ce pas me consacrer au petit verre quotidien..



vendredi 3 août 2007

Et si on s'attaquait à d'autres nourritures terrestres?

















Envie de poster quelque chose ce soir, sans toutefois avoir de petites photos de petits plats, puisque sans aucun petit temps libre pour mijoter ne serait-ce qu'une petite marmite!!
Mais je compte bien me rattraper ce week-end, puisque j'invite ma goûteuse préférée en chef, Victoire. Et la Victoire du jour sera certainement celle de conquérir son palais avec un subtil jeu de sucré salé.
Alors je me suis dit, en attendant, qu'il était temps d'honorer l'ecléctisme auquel porte le nom de mon blog. Et de vous parler d'autres nourritures terrestres.
Et bien c'est chose faite avec ces deux petits livres, MERVEILLEUX!! sortis tout droit d'une collection qui nous était destinée: "exquis d'écrivains"
- Sous les mets les mots de Claude Pujade-Renaud
- Voyage en Gourmandise de Chantal Pelletier.
Je n'ai pas lu le troisième opus, mais je compte bien me rattraper (après avoir dévoré un dernier Truman Capote...)

Je ne serai certes pas à la hauteur de décrire ces livres, au risque d'en faire d'inutiles et pesantes paraphrases. Sâchez qu'il y est décrit à merveille la sensation qui nous prend, nous autres fous de cuisine, à la vue d'une préparation qui frémit, d'une aubergine qui se colore, LE PLAISIR DE LA CRÉATION!!
Lire ces deux tous petits livres c'est un peu sentir les parfums merveilleux dégagés dans la cuisine, la sensation de redécouvrir certaines recettes "familiales"....

En bref, vous l'aurez compris, je suis bien plus que conquise!!
Je laisse la parole à ces dames, et en premier lieu Claude:
"... Le goût et le langage se nourrissent l'un de l'autre. L'odeur tonique de l'oignon qu'on fait suer - elle chérit ce terme - dans un mélange de beurre et d'huile. Des aubergines : elle prenait plaisir à caresser leur violet lustré, puis, après les avoir coupées en lamelles, les laissait dégorger sous une légère couche de sucre en poudre afin d'en adoucir l'âcreté. Au printemps, une fricassée de jeunes asperges mélangées à de petits fonds d'artichauts, quel bonheur ! Au printemps également, les premières fèves. Eglantine caressait le duvet blanc qui feutrait l'intérieur de la cosse, puis elle arrosait d'un filet de citron les menus galets d'un si joli vert, et si tendres... "

Et enfin à Chantal:
« J’adorais l’école, car j’y plongeais dans l’écrit (les cris, je visualise ce mot toujours de cette façon) qui devint mon plat préféré. Loin de ce bouillon cosmique, je m’ennuyais trop. Alors, le stylo a remplacé la fourchette, le clavier l’assiette, je me suis attablée, et je suis partie en voyage. » « Mon goût pour les bonnes choses est comme moi. Il aime voyager. »


J'avoue une nette préférence pour "Sous les mets les mots", qui traite bien plus du plaisir de cuisiner que de ce qu'il y a autour. Un protagoniste plus qu'un prétexte pour écrire. C'est la critique que j'aurais à adresser à "Voyage en Gourmandise".

J'adorerai partager mes impressions sur ces livres!